JO de Paris 2024 : Tourtel Twist, nouveau supporteur officiel des Jeux olympiques
EXCLUSIF. Les brasseries Kronenbourg s’engagent comme supporteurs des Jeux de Paris 2024 avec leur marque de bière sans alcool Tourtel Twist.
Les collaborateurs de Kronenbourg l’ont appris ce mercredi 13 septembre, tard dans la soirée. L’annonce officielle sera faite ce jeudi matin. Tourtel Twist, la bière sans alcool du géant français de la brasserie, devient supporteur officiel des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Un beau coup réalisé par les Alsaciens qui travaillaient depuis des mois sur ce dossier. Deux ans après être devenu un membre phare de la caravane du Tour de France, voilà Tourtel qui débarque dans l’olympisme.
« Ce partenariat illustre l’exceptionnel développement de la marque. C’est une expérience unique qui lui permettra d’accroître sa visibilité durant l’événement le plus populaire de 2024 et d’offrir au public l’occasion de se rafraîchir lors des moments conviviaux », souligne ainsi Anders Røed, le PDG des brasseries Kronenbourg, une filiale du Danois Carlsberg.
Le symbole de la croissance de la bière sans alcool
Cette apparition d’une bière sans alcool sur les 33 sites olympiques et 17 paralympiques symbolise l’essor du sans alcool dans le marché français. Si la bière est la boisson préférée des Français, le 0 % gagne de plus en plus de parts de marché aussi bien auprès d’un public jeune que plus classique, qu’il soit masculin ou féminin.
« C’est un plaisir d’accueillir Tourtel Twist, se félicite Tony Estanguet, le président de Paris 2024. Avec un tel partenaire, nous incarnons très concrètement les valeurs de partage et de convivialité qui sont les fondements du sport et qui ont toute leur place aux Jeux. »
Les annonces s’enchaînent ainsi pour les organisateurs. À moins d’un an de la grand-messe du sport mondial dans la capitale, Paris 2024 continue de séduire et notamment les groupes français. Le Cojo (comité d’organisation) attend quelque 1,2 milliard d’euros des partenariats au final. En fonction du niveau, les sommes versées ne sont pas les mêmes.
On parle en dizaines ou centaines de millions d’euros pour certains sponsors de rang 1 (premium), à l’image de LVMH (propriétaire du « Parisien-Aujourd’hui en France ») ou de Sanofi, à quelques millions et des dotations pour ceux de rang 3, les supporteurs officiels. Dans tous les cas, il reste encore des places à prendre… pour la signalétique ou les salles de sport.
